Les enfants des rues au Maroc: un phénomène inquiétant

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Est devenu le phénomène des enfants des rues dans les phénomènes Maroc qui concernent la société civile au Maroc Tnamea en particulier avant et le nombre croissant d'enfants des rues dans les villes marocaines journée importante par jour.

 
Souvent, non sans une ville marocaine d'enfants dans un état déplorable. Vous les trouverez dans les parcs de stationnement .. Near restaurants .. Sur les trottoirs .. Dans les jardins .. Sans abri et sans logement, ils prennent quelques places et jardins abandonnés un endroit pour passer la nuit, Muftrchin terre et le ciel Mmelthvin.


La plupart d'entre eux - malheureusement - dévier, le tabagisme et la drogue Viaaton mais aussi l'alcool, et il a évolué jusqu'à un crime dans un certain nombre de cas.


Et personne ne peut les blâmer de ce entente directe des victimes avant qu'ils ne soient rien d'autre, victimes de facteurs sociaux et économiques ne Trahmhm et ne pas les laisser avec une possibilité de choix devant les conditions difficiles dans lesquelles ils vivent.


Les causes de ce phénomène
1 - le divorce: le divorce peut être considérée comme une cause majeure d'exacerbation du phénomène, de sorte que la séparation des parents d'initier les enfants à l'itinérance et la perte nécessairement, et c'est assez pour savoir que 90% des enfants de la rue ont des pères et des mères, soit le père ou la mère. Ils ne sont pas à Qtae.
Ces enfants peuvent être subdivisées en trois types:
- Les enfants vivant entre la rue et la maison.
- Les enfants travaillant dans les rues, et la plupart d'entre eux font un bon revenu.
- Les enfants sont exploités laide du côté de la route, soit par leur emploi dans des circonstances difficiles ou par l'exploitation physique.


2 - La pauvreté: le Maroc des autres pays arabes où la migration intensive des villages vers les villes, et qui entraînent un vaste Bonn niveau de vie entre les familles, les familles pauvres sont obligés - en raison de père tarif insuffisant, par exemple - pour pousser leurs enfants à travailler dans la rue.

 Dit l'enfant, Abdul Salam, 13 ans: «Si vous n'avez pas préparé pour la Chambre dans le dernier jour à $ 30 dirhams (3 dollars), le père tuerait me battre, je ne peux pas rentrer chez lui après avoir obtenu ce montant ont été forcés de travailler dans plusieurs métiers en un jour" .
3 - les problèmes familiaux: les enfants sont  sensible, et toute la tension se produit dans la maison une incidence négative sur la psyché fragile de l'enfant trouve la rue tout à fait un havre de paix pour ceux qui souffrent.

 Dit Karim, 16 ans: «La plus belle rue de la maison, il ya toujours un conflit à la maison entre mon grand frère et mon père, où j'ai gagné bagages faisant mon père expulsé de la maison et il ya toujours une dispute entre eux"


4 - abandon: que tous les enfants de la rue sont des enfants n'ont pas terminé leurs études pour une raison ou une autre, où le temps libre devient perspectives à plus long et plus étroit, ce qui Vindmon à l'itinérance convoi.

 Résultats

Peut-être juste de dire sans a averti que les résultats de ce phénomène sont les résultats d'une déjà grave et dangereuse, et avoir un impact significatif sur la communauté dans son ensemble et plus particulièrement ce segment, qui est censé représenter les générations futures.
Et les résultats peuvent être résumés comme suit:
- Déviation: La sortie d'un enfant à l'âge de dix ans, par exemple à la rue conduira inévitablement à l'écart, surtout devant l'absence d'un moyen de dissuasion, il ne survivra pas donc cigarettes et dépendance à l'alcool et aux drogues malgré le petit âge.
Enfant dit Mourad, 12 ans: «Donne-moi de l'argent pour sous-alimentés, et je vais arrêter pour flairer ce médicament» ... Et un coup d'œil suffit à Mourad de réaliser toute la souffrance vécue par ses vêtements en lambeaux et son visage plein de cicatrices, et sa réponse était en fait quand on lui a demandé de mettre fin aux abus de la drogue, qui était entre ses mains.


- Maladies: Le statut de ces enfants dans toutes les villes marocaines sont similaires, ils dorment tous dans les rues, où ils sont vulnérables aux fluctuations climatiques du froid est sévère, ou une chaleur intense ou même une tempête de vent, ce qui entraîne diverses maladies n'est pas la tuberculose et le cancer bolha et non la fin.


- Crime: Nous ne pouvons pas attendre - bien sûr - d'un enfant qui sait le bien du mal et est privé de l'éducation et privé de nourriture et de vêtements ainsi traiter les enfants des rues et de voler couper la route aux passants par des moyens différents..



  - La mendicité: et c'est aussi une autre façon de les moyens de gagner sa vie pour eux, et qui sont donc les feux de circulation, aires de stationnement et restaurants à proximité, la mendicité passants qu'ils pourraient profiter de sabot بلقمة manger.


L'exploitation physique et sexuelle: Il s'agit d'une équipe très sérieuse, Jat il ya quelques mafias, à la fois étrangers et marocains ou encore, l'exploitation de ces enfants, soit par leur pitance emploi ou d'exploitation sexuelle, et c'est assez pour savoir qu'il a été arrêté récemment à un résident français au Maroc Le déficit des exploits de ces enfants ont été agressées sexuellement à Casablanca, en particulier, qui comprend environ 5.300 enfants sans abri, et est un nombre vraiment alarmant.

 Solutions
Les solutions - automatiquement - était d'éliminer les raisons évoquées ci-dessus. Mais il convient de noter que la prise en charge des associations pour les enfants en situation difficile jouent un rôle important et précieux pour extirper ce phénomène de la société marocaine, et peut-être d'association (PITI) célèbre demeure un bon exemple, afin d'y inclure un certain nombre de branches dans les villes du Maroc et de travailler constamment à lever Ces enfants des griffes de la perte, a été en mesure - de 7 ans de travail - d'incorporer 60% d'enfants sans abri dans la vie publique.


Dans précédent est le premier de son genre, le réalisateur marocain "Nabil Ayouch" choisir enfant »Hisham Musson« un enfant de la rue, pour jouer dans son film "Ali Ichiro" et nous espérons que ce sera la première pluie et ne pas s'arrêter là et donner le reste des enfants occasions appropriées pour s'engager dans la société.